L’article complet est à lire dans La Nouvelle République, qui partage les résultats alarmants d’une étude conduite par le Muséum d’Histoire Naturelle de Paris, de puis plus de 20 ans.
En Poitou-Charentes, cette étude est coordonnée par la Ligue de protection des oiseaux (LPO). Depuis plus de vingt ans, elle rassemble l’ensemble des observations menées par les associations régionales de protection de la nature ayant une spécialité historique en ornithologie, à savoir Charente nature, le Groupe ornithologique des Deux-Sèvres (Gods) ainsi que les antennes LPO de la Vienne et de la Charente-Maritime.